Notre famille, nos amis, nos proches quoi, on pense à eux, on leur fait des cadeaux, on leur tricote des trucs, ça nous fait plaisir et à eux aussi (en général, ou alors ils font semblant), et puis un jour pendant une conversation, v'là-t'y pas qu'on vous dit: "Ah oui, le petit machin joli que tu m'avais tricoté, c'est trop bête, je l'ai lavé et il a rétréci".
Là vous passez par toutes les phases habituelles qui suivent l'annonce d'une nouvelle de ce type (déni, colère, résignation, chagrin), et puis un beau jour vous reprenez le dessus et vous vous dites: c'est plus possible!
Voilà exactement (enfin, c'est légèrement exagéré, mais c'est pour la cause du récit) où`j'en étais un dimanche du mois de septembre où j'étais censée travailler (sur mon vrai travail, pas mon tricot, je précise). Et là j'ai eu l'illumination. Certains voient la vierge dans une tranche de jambon, d'autres ont une apparition derrière le pilier d'une basilique, et bien pour moi, le déclic, ça a été l'étiquette thermocollante. C'est moins spirituel mais on fait ce qu'on peut.
Ont suivi deux heures de recherche frénétique sur internet, en passant par toutes les solutions possibles, du tampon encreur à l'étiquette en tissu à coudre. Plus moyen de me concentrer sur mon travail, je n'avais plus qu'une idée fixe, une obsession, un caprice: me trouver des étiquettes.
Hé bien voilà, je les ai trouvées! Ô joie!!!
Oui, bon, je sais, j'ai un peu cramé la laine avec le fer, mais personne n'est parfait et puis je l'ai fait sur un petit bout qui ne se voit pas (trop)! Sur les trois mètres carrés de châle, ça passe très bien, je vous assure!
Et voilà, on peut enfin offrir le tricot sur lequel on a passé 56 heures en toute sérénité!
Il ne me reste plus qu'à apprendre à régler le fer à repasser...
Là vous passez par toutes les phases habituelles qui suivent l'annonce d'une nouvelle de ce type (déni, colère, résignation, chagrin), et puis un beau jour vous reprenez le dessus et vous vous dites: c'est plus possible!
Voilà exactement (enfin, c'est légèrement exagéré, mais c'est pour la cause du récit) où`j'en étais un dimanche du mois de septembre où j'étais censée travailler (sur mon vrai travail, pas mon tricot, je précise). Et là j'ai eu l'illumination. Certains voient la vierge dans une tranche de jambon, d'autres ont une apparition derrière le pilier d'une basilique, et bien pour moi, le déclic, ça a été l'étiquette thermocollante. C'est moins spirituel mais on fait ce qu'on peut.
Ont suivi deux heures de recherche frénétique sur internet, en passant par toutes les solutions possibles, du tampon encreur à l'étiquette en tissu à coudre. Plus moyen de me concentrer sur mon travail, je n'avais plus qu'une idée fixe, une obsession, un caprice: me trouver des étiquettes.
Hé bien voilà, je les ai trouvées! Ô joie!!!
Oui, bon, je sais, j'ai un peu cramé la laine avec le fer, mais personne n'est parfait et puis je l'ai fait sur un petit bout qui ne se voit pas (trop)! Sur les trois mètres carrés de châle, ça passe très bien, je vous assure!
Et voilà, on peut enfin offrir le tricot sur lequel on a passé 56 heures en toute sérénité!
Il ne me reste plus qu'à apprendre à régler le fer à repasser...
Bonne idée ! Pour ne pas avoir à cramer la laine ;-), il y aussi la solution d'Isabelle que l'on avait présentée sur Abracadacraft. Imprimer une petite étiquette avec les instructions d'entretien et enrouler un morceau de la laine restante. après, il ne faut pas que tes amies perdent l'étiquette. Mais là, on peut commencer à aller se recueillir à la recherche de la sainte patronne des tricots. C'était là : http://desboutsdenous.canalblog.com/archives/2012/10/15/25300562.html
RépondreSupprimerVoilà une chose à laquelle je n'ai pas pensé pendant mes deux heures frénétiques de recherche! Merci Nathalie, je ferai ça pour les tricots plus délicats...!
SupprimerQue vous êtes drôle !
RépondreSupprimerPour ma part question lavage, je suis scrupuleusement le conseil avisé de ma maman : toujours laver la laine à l'eau froide sans être glacée. D'aucuns y voient de la tracasserie inutile, mais mes pulls sont nickel.
Offrez-moi des jambières pour l'hiver.
C'est pourquoi le gilet que je vous avais tricoté est toujours en vie et bien portant! Certaoins peuvent en prendre de la graine.
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