Pour Noël, comme je vous le disais, j'ai traversé une sorte de frénésie du homemade qui m'a valu, notamment, de renouer avec ma machine à coudre.
Enfin quand je dis "renouer", c'est un abus de langage. Il conviendrait de dire que je l'ai redécouverte, car j'avais à peu près tout oublié pendant ces six mois de négligence. J'ai dû réapprendre à enfiler la machine et j'ai refait exactement les mêmes conneries que lors de mes premiers débuts (comme passer deux heures à démonter tout le mécanisme de la canette sans réussir à le remonter pour finir par comprendre qu'en fait, c'était inutile de tout enlever, qu'il suffisait d'ôter le petit machin qui soutient la canette en question.)
Ces deuxièmes débuts furent donc relativement pénibles et je n'ai eu de cesse de me demander pourquoi diable je m'ingligeais ça, mais bon finalement, je suis repartie en piste.
J'ai cousu pour ma maman une pochette doublée à zip. En simili cuir bleu marine et doublure à motifs géométriques.
J'ai posé ma première fermeture éclair!
Cette étape s'est passée sans heurts, en revanche comme le découpage n'a jamais été mon fort, la doublure et le tissu extérieur n'avaient pas exactement les mêmes dimensions, si bien qu'une fois doublée, la pochette gondolait sérieux. De rage, j'ai tout arraché et là, miracle de Noël, la moitié des coutures a tenu bon et seule celle qui était vraiment merdique a flanché. J'ai retaillé la doublure, recousu et hop... parfait!
Je vous passe d'autres galères (et voilà que je me pique le doigt au moment de faire une petite finition et que je fais une belle tache de sang sur le blanc de la doublure...! Camouflée, in extremis par mon étiquette, heureusement), mais j'ai finalement réussi à l'offrir (j'ai douté jusqu'au bout).
Je ne sais pas trop si cette fragile idylle avec la machine va durer.
Je me suis toutefois fixé comme but en 2016 (si ce n'est de réussir à faire l'équilibre sur les mains (en 2015 c'était le pont and yes, i did it!) mais ça n'a rien à voir avec notre propos), comme but couturesque, donc, de me confectionner une robe.
J'ai déjà saoulé toutes mes copines couturières avec ça, autant dire qu'il est trop tard pour se défiler.
Enfin quand je dis "renouer", c'est un abus de langage. Il conviendrait de dire que je l'ai redécouverte, car j'avais à peu près tout oublié pendant ces six mois de négligence. J'ai dû réapprendre à enfiler la machine et j'ai refait exactement les mêmes conneries que lors de mes premiers débuts (comme passer deux heures à démonter tout le mécanisme de la canette sans réussir à le remonter pour finir par comprendre qu'en fait, c'était inutile de tout enlever, qu'il suffisait d'ôter le petit machin qui soutient la canette en question.)
Ces deuxièmes débuts furent donc relativement pénibles et je n'ai eu de cesse de me demander pourquoi diable je m'ingligeais ça, mais bon finalement, je suis repartie en piste.
D'après l'excellent tuto des Lubies de Louise, disponible ici |
J'ai cousu pour ma maman une pochette doublée à zip. En simili cuir bleu marine et doublure à motifs géométriques.
J'ai posé ma première fermeture éclair!
Cette étape s'est passée sans heurts, en revanche comme le découpage n'a jamais été mon fort, la doublure et le tissu extérieur n'avaient pas exactement les mêmes dimensions, si bien qu'une fois doublée, la pochette gondolait sérieux. De rage, j'ai tout arraché et là, miracle de Noël, la moitié des coutures a tenu bon et seule celle qui était vraiment merdique a flanché. J'ai retaillé la doublure, recousu et hop... parfait!
Je vous passe d'autres galères (et voilà que je me pique le doigt au moment de faire une petite finition et que je fais une belle tache de sang sur le blanc de la doublure...! Camouflée, in extremis par mon étiquette, heureusement), mais j'ai finalement réussi à l'offrir (j'ai douté jusqu'au bout).
La jolie étiquette cache-misère... |
Je ne sais pas trop si cette fragile idylle avec la machine va durer.
Je me suis toutefois fixé comme but en 2016 (si ce n'est de réussir à faire l'équilibre sur les mains (en 2015 c'était le pont and yes, i did it!) mais ça n'a rien à voir avec notre propos), comme but couturesque, donc, de me confectionner une robe.
J'ai déjà saoulé toutes mes copines couturières avec ça, autant dire qu'il est trop tard pour se défiler.
je me marre, mais je me reconnais, même avec la tache de sang! j'ai eu la même déconvenue, j'ai dit à ma sœur que c'était pas signature ADN :D
RépondreSupprimerbravo pour le pont, je devrais essayer, puisque je sais déjà faire la robe haha!
Ah oui c'est bon ça, de signer ses ouvrages en ADN!
SupprimerMerci pour ton message, ça fait plaisir de savoir que je ne suis pas la seule à ensanglanter mes cadeaux!
Perrine ou l'art de retomber sur ces pieds (de biche) !
RépondreSupprimerEt donc, une nouvelle bannière pour 2016 ? Bientôt des petites robes en tête de blog ?
Comme c'est joliment dit!
SupprimerOuais, nouvelle banière, qu'en penses-tu? J'avais envie de changement. Pour les petites robes, on va attendre un peu que la couture arrête de me donner des crispations et des crises de rage!
Moi je dis qu'après tant d'efforts,il serait bien dommage de tout laisser tomber. Toute machine finit par se laisser dompter...et je trouve qu'elle a déjà permis de réaliser une bien jolie pochette !
RépondreSupprimerOh, merci pour ces encouragements! Ouais, je suis bien d'accord, maintenant que je suis capable de démonter et remonter une machine les yeux fermés, ce serait dommage de pas coudre...
SupprimerJ'aime bien la nouvelle bannière, c'est plus punchy.
RépondreSupprimerChouette!
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