L'hiver n'a pas vraiment fait de halte sur la pointe bretonne, mais il faut bien reconaître qu'on se gèle quand même un peu.
Et comme justement ça fait un petit moment que me trottait dans la tête une méthode révolutionnaire pour confectionner un bonnet, je me suis dit que c'était maintenant ou l'année prochaine.
J'ai donc mis au point un buruko, soit "couvre-chef" en langue basque.
Pour tricoter ce bonnet, je suis partie du sommet de la tête, pour une construction top-down, quoi.
Je trouve cette méthode beaucoup plus intuitive et surtout plus pratique pour obtenir une taille parfaite, aussi bien en tour de tête qu'en longueur.
Nul besoin de défaire 3 fois de suite votre rang de montage pour cause de tête trop grosse ou trop petite.
Par ailleurs, mes rangs de montage étant toujours plus raides que mes rangs de rabattage, on a ici une bordure super élastique et vachement confortable.
Pour ne rien vous cacher, j'ai douté à un moment de ma méthode révolutionnaire. En voyant qu'au lieu d'un bonnet, je me dirigeais tout
Il est tout simple, mais avec deux ou trois petits trucs sympas qui font qu'on ne s'ennuie pas.
Et je vous l'ai rédigé en bonne et due forme, ce qui fait que le modèle est disponible gratuitement sur Ravelry (en français, pas en basque, je vous rassure), ou bien ici!
Et comme justement ça fait un petit moment que me trottait dans la tête une méthode révolutionnaire pour confectionner un bonnet, je me suis dit que c'était maintenant ou l'année prochaine.
J'ai donc mis au point un buruko, soit "couvre-chef" en langue basque.
Tricoté avec des restes de Cascade Pure Alpaga et de Dolce di Luce, aig. 3,5 |
Pour tricoter ce bonnet, je suis partie du sommet de la tête, pour une construction top-down, quoi.
Je trouve cette méthode beaucoup plus intuitive et surtout plus pratique pour obtenir une taille parfaite, aussi bien en tour de tête qu'en longueur.
Nul besoin de défaire 3 fois de suite votre rang de montage pour cause de tête trop grosse ou trop petite.
Par ailleurs, mes rangs de montage étant toujours plus raides que mes rangs de rabattage, on a ici une bordure super élastique et vachement confortable.
Pour ne rien vous cacher, j'ai douté à un moment de ma méthode révolutionnaire. En voyant qu'au lieu d'un bonnet, je me dirigeais tout
droit vers un set de table, je me suis dit: "Ah ouais, bin je comprends pourquoi personne l'a jamais fait, c'est tout simplement parce que ça marche pas."
Mais finalement non, j'ai obtenu un joli buruko.
Entendons-nous bien, je suis tout à fait consciente de ne pas avoir inventé l'eau chaude et que quelqu'un avait sûrement déjà pensé à tricoter un bonnet de haut en bas, mais je me demande pourquoi ce genre de construction n'est pas plus répandue.
Il est tout simple, mais avec deux ou trois petits trucs sympas qui font qu'on ne s'ennuie pas.
Et je vous l'ai rédigé en bonne et due forme, ce qui fait que le modèle est disponible gratuitement sur Ravelry (en français, pas en basque, je vous rassure), ou bien ici!
Bonne idée, mais vu que mes rabattages sont toujours beaucoup moins élastiques que les montages, je crois que je vais continuer normalement! :D
RépondreSupprimerJustement, je donne une petite méthode pour un rabattage élastique, méthode que j'ai adoptée pour tous mes tricots d'ailleurs. Je vais l'ajouter dans la description Ravelry!
SupprimerUn bien joli couvre-chef.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup le bleu du sommet et des côtes.