L'Avent 2: une chambre à soi

Aujourd'hui, ambiance envers du décor.
Ouais, quand on commence à être connu (comme moi), on devient mégalo (voilà) et on pense que nos fans (vous), qui sont des millions et des milliasses (un bon point à celui qui me dit d'où vient la citation sans regarder sur Internet, juste avec sa culture générale) rêvent de savoir comment ça se passe pour les stars (moi) dans la vraie vie (la mienne, donc, rappelez-vous, on est (je suis, et vous vous suivez?) mégalo)).

Bon, je vous rassure, je ne vais pas vous barber, juste vous montrer les étapes de mon aventure tricot.
Au début, quand je me suis mise à tricoter, je vivais à Paris, dans un tiroir de bureau. Mon espace tricot, c'était ça:





Ensuite j'ai changé de ville, j'ai redécouvert que dans la vraie vie on pouvait même vivre dans plusieurs pièces (quand on a de la chance), et mon espace s'est légèrement agrandi.
Après quoi, j'ai rechangé de ville et là, j'ai carrément fait un bond dans l'échelle sociale, comme le prouve l'agrandissement de mon espace qui est devenu comme ça:



Et puis j'ai hérité d'une machine à coudre. Or couture = place. Donc il a bien fallu m'en faire une. Et j'ai eu... ma pièce. Ouais, ma pièce à moi, ma room of one's own, quoi.




Wouah, j'ai de la chance, hein? Vous inquiétez pas, je la mesure, ma chance.

Avec mon bureau à l'étage, l'annexe de bureau éventuelle dans le salon au rez-de-chaussée et l'atelier couture/tricot au sous-sol (dans la chambre d'amis, on s'en fout, ils viennent jamais et puis c'était scandaleux de leur réserver une pièce juste à eux alors que moi je suis là tout le temps), je squatte à présent tous les espaces de la maison. C'est bien joué, non?



Commentaires

  1. Dis donc ! Une machine à coudre, un atelier, une vraie couturothèque, c'est du sérieux. J'ai hâte de voir tes prochaines productions.

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